C'est un fait : plus j'accompagne de passionnés sur Zerudi et en-dehors et plus je me dis qu'on a un vrai problème de culture entrepreneuriale en France. Si produire des contenus, des pédagogies, des produits dérivés ne pose pas de problème particulier, l'étape de se lancer, se mettre en avant, passer du temps sur sa communication est plutôt compliqué.
Au final, qu'est-ce qu'on remarque ? Le comportement classique qui consiste à "remettre" à plus tard. Car forcément, ça n'est jamais assez bien. Toujours ce satané syndrome de l'imposteur : c'est vrai qu'il y a des gens diplômés. Des gens brillants. Probablement plus que vous. Mais c'est oublier qu'il y en a aussi des moins bons que vous et qui seraient ravis d'apprendre de vous. De faire appel à vos services.
Un des problèmes qui renforce ce problème, c'est qu'il n'est pas toujours évident de faire la part des choses. Sur Internet, il faut mêler habilement le gratuit et le payant. Mais, dans l'ordre des choses, c'est mieux de passer plus de temps sur la création de contenus payants (ou création de produits dérivés) que de contenus gratuits :
Travailler mieux pour travailler moins
Soyez conscient que numériser votre activité, la dupliquer sur Internet et la diffuser par ce média n'a pas d'autre objectif que de vous permettre de travailler mieux pour travailler moins.
Soyez méthodique : Zerudi, ce site, ne s'est pas construit en un mois. Toutes les semaines, un article de blog vous a été proposé. Il faut environ une heure pour créer ce contenu, vidéo comprise (aucun montage). L'intérêt ? Nous avons maintenant suffisamment de matière pour écrire un livre à partir de ces billets de blog que nous enrichissons, agençons, complétons. Tout ce que vous produisez peut vous servir par la suite.
Il faut donc au départ créer un service, un enseignement, éditer un contenu quel qu'il soit, mais destiné à être commercialisé. Puis communiquer par des contenus gratuits : articles de blog, Facebook, publicité. Ces articles doivent pointer vers le payant. Ici, sur Zerudi, c'est relativement simple car il n'y a qu'une seule offre.
N'attendez pas. Ne perdez pas de temps. La nature a horreur du vide et si vous ne comblez pas ce vide, d'autres le feront pour vous. Vous devez donc accepter de créer, proposer, mesurer, adapter : c'est de cette façon que vous rendrez votre activité, votre passion, pérenne. Et ça c'est positif pour tout le monde.
Testez Zerudi, sa communauté, ses formations :
Au fait le saviez-vous ? Sur Zerudi, désormais, vous avez un tutoriel complet, une formation stratégique hebdomadaire, un réseau qui se crée, un accompagnement... Bref, notre expérience peut vous servir.
Nous lançons prochainement un espace "essai" : jusqu'à présent, nous étions occupés à peaufiner la plateforme, à accompagner nos Zerudiens, et à apprendre d'eux. Aujourd'hui, nous sommes parés à vous accueillir. Et bien évidemment nous savons qu'avant de vous engager, vous préféreriez tester la solution et tout le reste.
Vous avez un projet ? Contactez-nous !
Vous avez une passion ? Une expertise ? Vous aimez le web et vous vous imaginez bien comme éditeur de contenus ? Testez Zerudi pendant un mois : vous aurez également accès aux tutoriels et aux premières formations stratégiques. Envoyez-nous un email : contact@zerudi.com en précisant votre projet. Nous créerons votre accès et votre compte, sans aucun engagement.
Vos réactions (2)
''Fait'' est mieux que ''Parfait''. Le perfectionnisme est une excuse pour ne pas passer à l'action.
En américain, on dit "Version one is better than version none" :-)
Yves
Coucou Vincent,
Bonjour Vincent,
S'il faut faire attention au syndrome de l'imposteur, il faut aussi éviter le piège du "créateur" et créer un produit qui règle bien le "problème" envisagé mais ne correspond pas à la demande des gens. Je ne sais plus quel "infopreneur" a dit : "vendez aux gens ce qu'ils veulent, donnez-leur ce dont ils ont besoin"., mais pour cela, il faut déjà être fort en communication ! Pour les "débutants", dont je suis, il me semble qu'il vaut mieux, dès la création du produit, envisager l'axe de communication, les avantages/bénéfices du produit et avoir un avatar client bien défini (approche de Didier Bonneville Roussy). Rendez-vous fin novembre pour voir ce que cette approche a donné
Tout à fait Pascale . Les deux marchent de concert. Dans tous les cas, la vente en 2016 repose sur le pilier de la confiance. Je ferai un rapport complet bientôt